Facebook retarde le lancement de son enceinte connectée
30 mars 2018 par Thomas Biasci

Facebook retarde le lancement de son enceinte connectée

Chaque semaine, une sélection d’articles de la presse française et étrangère pour éclairer l’avenir numérique de la radio.

Facebook retarde le lancement de son enceinte connectée

Empêtré dans l’une des pires crises de son histoire liée à la confidentialité des données personnelles et de sécurité, le réseau social n’a d’autre choix que de mettre en pause le lancement prévu pour cet été de sa future enceinte connectée. Suite au scandale, le projet va subir des tests plus approfondis afin de garantir la sécurité des données utilisateurs sur l’appareil. L’enceinte serait équipée d’un nouvel assistant vocal et d’une fonction de chat vidéo pour communiquer avec ses amis sur Facebook. >> à lire sur Siècle Digital

La synthèse vocale progresse

DeepMind, la branche britannique s’occupant de l’intelligence artificielle chez Google, lance un nouveau synthétiseur de voix plus réaliste. Intégrée en octobre dernier dans Google Assistant, cette technologie de text-to-speech est désormais disponible pour les développeurs et les entreprises pour l’intégrer dans leurs applications, leurs sites web ou leur propre assistant intelligent. Cet outil, baptisé WaveNet, est accessible via la plateforme cloud de Google. >> à lire en anglais sur The Verge

Spotify rassure ses investisseurs

Avant son entrée en bourse la semaine prochaine, le géant du streaming suédois a souhaité partager plusieurs informations avec ses potentiels investisseurs. Pour 2018, Spotify prévoit de finir l’année avec 96 millions d’abonnés premium, soit une augmentation de 36% par rapport à la même période l’année dernière. Le service de streaming pourrait en même temps atteindre les 6,6 milliards de dollars de recettes, soit une augmentation de 30% sur la même période. >> à lire en anglais sur Recode

Les disques font encore recette

On le disait mort mais le marché du disque est encore bien présent. Aux Etats-Unis, pour la première fois depuis 2011, les ventes physiques ont rapporté 200 millions de dollars de plus que les téléchargements et s’imposent haut la main face au téléchargement en ligne. Malgré la facilité d’accès des plateformes de téléchargement légal, l’album en tant qu’œuvre d’art reste toujours très tendance. >> à lire sur Les Echos