Podcasts : les bons choix du Guardian
15 mars 2019 par Vincent Meurisse

Podcasts : les bons choix du Guardian

Chaque semaine, une sélection d’articles de la presse française et étrangère pour éclairer l’avenir numérique de la radio.

Podcasts : les bons choix du Guardian

D’après une récente étude menée par la plateforme Acast, les podcasts quotidiens d’information comme The Daily du New York Times ont enregistré 230 millions d’écoutes en 2018. A son tour, le quotidien The Guardian a fait  le pari de ce format audio en lançant son podcast quotidien Today In Focus en novembre dernier. Ce programme est aujourd’hui le plus écouté de l’offre de l’éditeur britannique et représente un quart de son audience. The Guardian profite de ce succès et diffuse des publicités géo-localisées dans cette collection via Acast, en plus d’annonces d’incitation à l’abonnement. >> à lire en anglais sur Digiday

Luminary veut à son tour devenir le Netflix du podcast

Matt Stacks ne le cache pas : il veut que Luminary devienne synonyme de podcast comme Netflix est aujourd’hui synonyme de streaming.  Pour réaliser ce défi, le co-fondateur de cette startup américaine estime avoir de sérieux atouts en main. La plateforme compte tout d’abord 40 programmes exclusifs avec un casting de poids lourds du secteur comme Michael Rapaport, Guy Raz, Leon Neyfakh ou encore Adam Davidson. Un espace d’accès aux 600 000 autres podcasts accessibles sur le web complète cette première offre qualitative. Luminary attire ensuite les créateurs grâce à un système de revenus garantis en échange des droits d’exclusivité. Ce n’est pas la première fois qu’une entreprise affiche des ambitions à la hauteur de Netflix et la concurrence est de taille : Stitcher, Pocket Casts, Overcast, Castbox, Himalaya ou encore Spotify. >> à lire en anglais sur The New York Times

Amazon rémunère les développeurs de skills

Amazon permet aux développeurs de concevoir facilement des skills grâce à Alexa Skills Kit et affirme ainsi son ambition de rendre son assistant vocal le plus attractif du marché. Afin d’inciter les développeurs du monde entier à utiliser ce kit et à enrichir les fonctionnalités d’Alexa, la firme met en place une récompense décernée lors du Alexa Developer Rewards. Les développeurs les plus performants y reçoivent une rémunération s’ils ont créé plus de 1000 skills. Et la France peut enfin participer à ce programme qui regroupe aujourd’hui 23 pays. Amazon veut attirer encore plus de participants en mettant en place de nouveaux critères pour récompenser les skills les plus originaux, perfectionnés ou ambitieux. >> à lire sur Siècle Digital